Straßenbahn 26, Bus 33, Halt: Rudolf-Diesel-Straße
Compagnie Didier Théron: 2018 Célébrer la Jeunesse
Erleben Sie mit uns die Compagnie Didier Théron aus Montpellier und dessen choreographische Interpretation des Themas Jugend, Gewalt und Krieg. 100 Jahre nach dem Friedensschluss von 1918 feiert Didier Théron die Jugend. 2018, célébrer la jeunesse! betitelt er seine Arbeit, die auf dem Libretto Le jeune homme et la mort von Jean Cocteau fußt, welches Théron mit Musik von Maurice Ravel kombiniert. LJHELM (Le Jeune Homme et la Mort) ergänzt Théron mit einer weiteren Komposition von Maurice Ravel, dem Bolero. Diese beiden Stücke bilden den Stoff, aus dem Didier Théron eine einzigartig konzentrierte Tanzsprache entwickelt. Gemeinsam mit seinen drei Tänzern Sami Blond, Filipa Correia-Lescuyer und Thomas Esnoutl-Martinelli begeistert Théron durch die klare Geometrie seiner Bilder und die gleichzeitig scheinbar grenzenlose Körperlichkeit. Die intensive Klangsprache Maurice Ravels betont dies und unterstützt seinen künstlerischen Ansatz darüber hinaus. So gelingt es Didier Théron, auf eindringliche Weise Bilder zu kreieren, die den Kampf ums Überleben und die Hoffnung auf Neues zum Thema haben.
Begrüßung: Dr. Erika Mursa, Festivalleitung
Grußwort: Dr. Joachim Gerner, Bürgermeister der Stadt Heidelberg
Isabelle Marsala, Adjointe au Maire de Montpellier
Feiern Sie mit uns beim anschließenden Empfang die 13. Ausgabe des französischen Kulturfestivals.
Mit freundlicher Unterstützung des Bureau du Théatre et de la Danse / Institut français Deutschland
Interview avec Didier Théron accordée à Erika Mursa le 29 juin 2018 à Montpellier
Nous sommes ici dans l‘Espace Bernard Glandier. L’Espace Bernard Glandier, qu’est-ce que c’est ?
DT : C’est un projet qui vient de la volonté de Georges Frêche qui était maire et puis président de la Région, d’installer un jeune artiste de la danse dans ce quartier de la Ville et de le soutenir. Quand j’ai commencé à développer mon travail chorégraphique et quand j’ai obtenu un premier Prix de chorégraphie au Festival des « Hivernales d’Avignon » avec la pièce Les partisans, il m’a appelé…
C’était quand ?
DT : C’était en 1992. Donc il m’a appelé et m’a demandé : « M. Théron est-ce que vous voulez bien vous installer avec votre jeune compagnie à la Paillade ? » C’était un pari pour moi et une offre incroyable aussi. Nous aurions pu dépérir ici mais avec des efforts et de la volontés, des stratégies de Montpellier qui pariait sur la danse, nous avons prospéré ….